Plougasnou est une commune littorale de 3192 habitants (chiffres Insee 2023) du Finistère nord.
Les traces d'occupation de son territoire remontent au Paléolithique. Faire connaître son riche patrimoine, qu'il soit archéologique, civil ou religieux, est l'objet de ce site proposé par l'association Patrimoine de Plougasnou.
Les traces d'occupation de son territoire remontent au Paléolithique. Faire connaître son riche patrimoine, qu'il soit archéologique, civil ou religieux, est l'objet de ce site proposé par l'association Patrimoine de Plougasnou.
À venir :
Le 18 octobre : Le Trégor finistérien, petit territoire, grande histoire, film réalisé en coproduction par Bretagne Culture Diversité, LTW et TV-Trégor. Présentation : Jean-Jacques Monnier.
Durée 64 mn – Réalisation Loïc Chapron avec Alain Vorimore et Olivier Caillebot – Sur un script de Jean-Jacques Monnier, historien, et Olivier Caillebot – Musique originale Alix Caillebot – 14 intervenants dont François de Beaulieu, Jean-Jacques Aillagon, l’historien Christian Bougeard, l’archéologue Barry Cunliffe – Photographies Alain Vorimore
Film réalisé en coproduction par Bretagne Culture Diversité, LTW et TV-Trégor – 2023
Film réalisé en coproduction par Bretagne Culture Diversité, LTW et TV-Trégor – 2023
Le Trégor historique scindé en deux.
Le Trégor historique a été scindé en deux après la mise en place, en 1790, des divisions administratives en départements. Depuis lors, les 17 communes situées à l’ouest du Trégor, au delà du fleuve côtier Le Douron, sont finistériennes alors que la partie orientale du Trégor dépend des Côtes d’Armor.
Ceci dit, on n’efface pas comme cela, d’un trait de plume, l’unité d’un territoire. L’histoire a laissé des traces démontrant une grande homogénéité entre les deux parties. Ainsi les similitudes se retrouvent dans les vestiges préhistoriques (mégalithes), dans la religion, l’architecture (Beaumanoir), la langue, les costumes, les traditions. On retrouve également les mêmes cultures dont celle du lin qui fit naguère la prospérité du Trégor. Ce document s’attache à démontrer que les deux parties du Trégor sont en fait très unies par une longue histoire commune.
Le Trégor historique a été scindé en deux après la mise en place, en 1790, des divisions administratives en départements. Depuis lors, les 17 communes situées à l’ouest du Trégor, au delà du fleuve côtier Le Douron, sont finistériennes alors que la partie orientale du Trégor dépend des Côtes d’Armor.
Ceci dit, on n’efface pas comme cela, d’un trait de plume, l’unité d’un territoire. L’histoire a laissé des traces démontrant une grande homogénéité entre les deux parties. Ainsi les similitudes se retrouvent dans les vestiges préhistoriques (mégalithes), dans la religion, l’architecture (Beaumanoir), la langue, les costumes, les traditions. On retrouve également les mêmes cultures dont celle du lin qui fit naguère la prospérité du Trégor. Ce document s’attache à démontrer que les deux parties du Trégor sont en fait très unies par une longue histoire commune.
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Photo : Thérèse Gaigé/Patrick Virion
Le 22 novembre, Michèle Bonenfant, Docteur en Biologie Végétale, Enseignante Universitaire, se propose de vous faire découvrir cette ressource régionale particulière.
Quelle image avez-vous des algues ?
Sans doute sera-t-elle modifiée après avoir vu leur rôle dans le développement de la vie, la grande biodiversité dont nous disposons en Bretagne, et les multiples intérêts économiques de cette ressource.
Et quel enjeu pour la Bretagne ? Leader en France, en Europe et 5ème au rang mondial, la Bretagne a su et saura en tirer profit et développer la recherche et les activités économiques liées.
Quelle image avez-vous des algues ?
Sans doute sera-t-elle modifiée après avoir vu leur rôle dans le développement de la vie, la grande biodiversité dont nous disposons en Bretagne, et les multiples intérêts économiques de cette ressource.
Et quel enjeu pour la Bretagne ? Leader en France, en Europe et 5ème au rang mondial, la Bretagne a su et saura en tirer profit et développer la recherche et les activités économiques liées.
Parcours universitaire et activité :
Originaire des Côtes D’Armor, ée en 1964 à Saint Brieuc, collège et lycée à Lamballe.
Études Universitaires à Rennes :
Maîtrise de Biologie (Bac + 4)
DEA de Biologie et d’Agronomie entre l’ENSAR (Ecole nationale supérieure d’Agronomie de Rennes) et l’Université de Gand (Belgique)
Doctorat de Biologie Végétale (Bac + 8) au laboratoire de Botanique Appliquée de Rennes (Pr C. Lemoine).
Enseignante Universitaire depuis 1990, j’enseigne actuellement à l’UBO (Brest) et à l’UCO (Guingamp).
J’exerce en plus à temps partiel, une activité de Chargée de clientèle « Séjour » à Océanopolis.
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Revoir la sortie en Goëllo ? Cliquez sur l'image ou ici.
Revoir le manoir de Mesquéau en fête ? Cliquez sur l'image ou ici.
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Vient de paraître :
Le jour de l’an arrivait … avec les cartes de vœux d’Eddy et Ghislaine Roux. À travers leurs dessins qui les illustraient, nous respirions le bon air marin du Diben.
À d’autres moments, nous croisions Eddy sur les chemins ou les rochers du bord de mer, son carnet de croquis à la main. Dessiner, croquer, faire le relevé d’un bâtiment, c’est un réflexe né de l’enseignement des architectes de sa génération.
Tout cela nous laissait entrevoir une riche production que nous avons récemment découverte. L’idée de la partager avec d’autres sous forme d’un livret nous est apparue évidente.
Patrimoine de Plougasnou vous propose donc cet ouvrage regroupant une série de dessins d’Eddy. Il nous livre son attachement, presque obsessionnel, aux rochers côtiers de Plougasnou, tout en nous dévoilant son savoir et sa sensibilité d’architecte de l’ancienne école.
Christian Millet Président de Patrimoine de Plougasnou
Disponible à l'Office de tourisme de Plougasnou ou auprès de l'association. 15 €
À d’autres moments, nous croisions Eddy sur les chemins ou les rochers du bord de mer, son carnet de croquis à la main. Dessiner, croquer, faire le relevé d’un bâtiment, c’est un réflexe né de l’enseignement des architectes de sa génération.
Tout cela nous laissait entrevoir une riche production que nous avons récemment découverte. L’idée de la partager avec d’autres sous forme d’un livret nous est apparue évidente.
Patrimoine de Plougasnou vous propose donc cet ouvrage regroupant une série de dessins d’Eddy. Il nous livre son attachement, presque obsessionnel, aux rochers côtiers de Plougasnou, tout en nous dévoilant son savoir et sa sensibilité d’architecte de l’ancienne école.
Christian Millet Président de Patrimoine de Plougasnou
Disponible à l'Office de tourisme de Plougasnou ou auprès de l'association. 15 €
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Durant la récente crise sanitaire, le Patrimoine de Plougasnou n’a pu exercer ces activités usuelles, conférences et sorties ; il fut dans l’obligation de rechercher d’autres modes de fonctionnement. Ainsi la conférence sur le Costume dans tous ses états à Plougasnou, programmée initialement au printemps 2019, ne put être présentée et se transforma en une exposition à la maison prévôtale de Plougasnou, du 23 août au 11 septembre 2021.
Le concept était nouveau pour notre association et il fallut au groupe de travail animé par Danièle ALRIC faire preuve d’imagination pour repenser entièrement la présentation de cette étude.
Cet événement n’aurait pas eu le même impact si une partie des habitants de Plougasnou ne s’était pas impliquée avec autant de ferveur. Le thème choisi répondait manifestement à un besoin ; il s’agissait de valoriser un patrimoine local, fièrement conservé dans les armoires, garde-robes et buffets de nombreuses familles de notre commune.
Le grand mérite de Danièle ALRIC est d’avoir su convaincre plusieurs Plouganistes de lui confier costumes, coiffes, objets, photographies et cartes postale anciennes. Encore fallait-il mettre en scène cet ensemble. L’aide apportée à cet effet par Patrick VIRION fut essentiel.
Au-delà de ces artefacts, une véritable communion s’est installée entre les responsables de l’exposition et une population heureuse de montrer ses « trésors » et de faire resurgir des souvenirs enfouis mais toujours prêts à être réactivés.
Nous fûmes agréablement surpris et heureux d’accueillir plus de huit cents personnes lors de cette manifestation.
Le présent catalogue a pour but de garder la mémoire de ce moment.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou
Le concept était nouveau pour notre association et il fallut au groupe de travail animé par Danièle ALRIC faire preuve d’imagination pour repenser entièrement la présentation de cette étude.
Cet événement n’aurait pas eu le même impact si une partie des habitants de Plougasnou ne s’était pas impliquée avec autant de ferveur. Le thème choisi répondait manifestement à un besoin ; il s’agissait de valoriser un patrimoine local, fièrement conservé dans les armoires, garde-robes et buffets de nombreuses familles de notre commune.
Le grand mérite de Danièle ALRIC est d’avoir su convaincre plusieurs Plouganistes de lui confier costumes, coiffes, objets, photographies et cartes postale anciennes. Encore fallait-il mettre en scène cet ensemble. L’aide apportée à cet effet par Patrick VIRION fut essentiel.
Au-delà de ces artefacts, une véritable communion s’est installée entre les responsables de l’exposition et une population heureuse de montrer ses « trésors » et de faire resurgir des souvenirs enfouis mais toujours prêts à être réactivés.
Nous fûmes agréablement surpris et heureux d’accueillir plus de huit cents personnes lors de cette manifestation.
Le présent catalogue a pour but de garder la mémoire de ce moment.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou
Disponible à l'Office de Tourisme de Plougasnou et au magasin Les Galets Bleus, 3 rue de la Libération, Plougasnou.
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Ceci est un conte. Il se déroule il y a 4000 ans environ, à la limite de Préhistoire et de la Protohistoire.
L’auteure, Armel Le Sec’h, a su réveiller l’imaginaire de Plougasnou, tout en utilisant les dernières découvertes que nous livre l’archéologie moderne.
L’héroïne, Lenn, est une jeune fille en quête du savoir qui va bouleverser sa communauté, la fabrication du bronze. Les mines d’étain sont en Plougasnou et celles de cuivre en Cornouaille de l’autre côté de la Manche.
C’est son périple que nous suivons, à l’image de la fille d’Egtved, dont la momie a été récemment découverte dans une tourbière du Danemark et qui mourut après avoir probablement rapporté du cuivre de Bavière, métal dont les danois, maîtres du bronze, avaient grand besoin.
Ce texte a été préalablement écrit en breton. Le Patrimoine de Plougasnou l’édite en français, illustré par les peintures de l’auteure.
Christian Millet
Président du Patrimoine de Plougasnou.
L’auteure, Armel Le Sec’h, a su réveiller l’imaginaire de Plougasnou, tout en utilisant les dernières découvertes que nous livre l’archéologie moderne.
L’héroïne, Lenn, est une jeune fille en quête du savoir qui va bouleverser sa communauté, la fabrication du bronze. Les mines d’étain sont en Plougasnou et celles de cuivre en Cornouaille de l’autre côté de la Manche.
C’est son périple que nous suivons, à l’image de la fille d’Egtved, dont la momie a été récemment découverte dans une tourbière du Danemark et qui mourut après avoir probablement rapporté du cuivre de Bavière, métal dont les danois, maîtres du bronze, avaient grand besoin.
Ce texte a été préalablement écrit en breton. Le Patrimoine de Plougasnou l’édite en français, illustré par les peintures de l’auteure.
Christian Millet
Président du Patrimoine de Plougasnou.
Disponible à l'Office de Tourisme de Plougasnou et au magasin Les Galets Bleus, 3 rue de la Libération, Plougasnou.
Peintures : Armel Le Sec’h,
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Baie de Morlaix, bains de mer et villégiature,
de la Belle Époque à nos jours.
de la Belle Époque à nos jours.
Au milieu du XIXe siècle, l’émergence du tourisme de bord de mer et de santé touche les sites remarquables de notre littoral. La France va compter jusqu’à 923 stations balnéaires recouvrant des réalités très diverses. La baie de Morlaix concourra à ce dynamisme avec la singularité que lui confèrent la particularité de son paysage et les personnalités qu’elle saura séduire.
Si la fonction curative, dans un premier temps, attire en ces lieux l’aristocratie et la haute bourgeoisie, celles-ci seront vite accompagnées par les artistes, écrivains, peintres, musiciens à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Plusieurs d’entre eux y puiseront leur inspiration pour composer leurs œuvres.
Plus tard, grâce à l’instauration des congés payés en 1936, toutes les couches de la population vont désormais participer à ce mouvement.
Toutes ces fonctions et leurs équipements spécifiques vont perdurer avec plus ou moins de succès ; la perspective culturelle vient plus récemment s’y ajouter par la reconnaissance d’une dimension patrimoniale des lieux.
Ce livre raconte cette histoire et révèle combien la baie de Morlaix a accueilli d’écrivains, de peintres, de musiciens parmi les nombreux villégiateurs qui l’ont fréquenté. De Roscoff à Locquirec, chaque commune a été le siège d’une vie intellectuelle souvent insoupçonnée. En 1869, Alexandre Dumas fréquente Emile Littré à Roscoff ; Igor Stravinsky compose en 1920 son concerto pour quatuor à cordes à Carantec ; Nina Ricci trouve un havre de paix au bord de la rivière de Morlaix ; Maxime Maufra peint les falaises de Saint-Jean-du-Doigt et de Guimaëc ; Serge de Diaghilev conçoit l’aventure des ballets russes à Primel-Trégastel. Ces quelques exemples suffisent à montrer la richesse culturelle que la villégiature a fait naître dans les différents pôles d’attraction de la baie.
Le tourisme d’après-guerre et son évolution sont également décrits, ainsi que les questions que pose l’avenir de ces stations, alors que celles-ci doivent faire face aux difficultés induites par le nécessaire regard écologique, les variations du trait de côte et la pression foncière.
En regard de cette histoire, ce livre propose une sélection d’exemples permettant d’apprécier la richesse de l’architecture balnéaire. Car ces demeures, bien qu’elles se soumettent à un programme commun, savent lier l’efficacité de leur distribution à l’expression de la fantaisie et de l’ambition de leurs habitants, pouvant aller du décor néogothique à l’expérimentation de la modernité la plus affirmée.
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet et Patrick Virion illustré de nombreuses photographies en couleurs.
Edité chez Skol Vreizh, 2022.
Si la fonction curative, dans un premier temps, attire en ces lieux l’aristocratie et la haute bourgeoisie, celles-ci seront vite accompagnées par les artistes, écrivains, peintres, musiciens à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Plusieurs d’entre eux y puiseront leur inspiration pour composer leurs œuvres.
Plus tard, grâce à l’instauration des congés payés en 1936, toutes les couches de la population vont désormais participer à ce mouvement.
Toutes ces fonctions et leurs équipements spécifiques vont perdurer avec plus ou moins de succès ; la perspective culturelle vient plus récemment s’y ajouter par la reconnaissance d’une dimension patrimoniale des lieux.
Ce livre raconte cette histoire et révèle combien la baie de Morlaix a accueilli d’écrivains, de peintres, de musiciens parmi les nombreux villégiateurs qui l’ont fréquenté. De Roscoff à Locquirec, chaque commune a été le siège d’une vie intellectuelle souvent insoupçonnée. En 1869, Alexandre Dumas fréquente Emile Littré à Roscoff ; Igor Stravinsky compose en 1920 son concerto pour quatuor à cordes à Carantec ; Nina Ricci trouve un havre de paix au bord de la rivière de Morlaix ; Maxime Maufra peint les falaises de Saint-Jean-du-Doigt et de Guimaëc ; Serge de Diaghilev conçoit l’aventure des ballets russes à Primel-Trégastel. Ces quelques exemples suffisent à montrer la richesse culturelle que la villégiature a fait naître dans les différents pôles d’attraction de la baie.
Le tourisme d’après-guerre et son évolution sont également décrits, ainsi que les questions que pose l’avenir de ces stations, alors que celles-ci doivent faire face aux difficultés induites par le nécessaire regard écologique, les variations du trait de côte et la pression foncière.
En regard de cette histoire, ce livre propose une sélection d’exemples permettant d’apprécier la richesse de l’architecture balnéaire. Car ces demeures, bien qu’elles se soumettent à un programme commun, savent lier l’efficacité de leur distribution à l’expression de la fantaisie et de l’ambition de leurs habitants, pouvant aller du décor néogothique à l’expérimentation de la modernité la plus affirmée.
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet et Patrick Virion illustré de nombreuses photographies en couleurs.
Edité chez Skol Vreizh, 2022.
Revue de presse :
Le Télégramme : www.letelegramme.fr/finistere/morlaix/un-livre-collectif-dedie-aux-bains-de-mer-et-villegiature-de-la-belle-epoque-a-nos-jours-en-baie-de-morlaix-va-sortir-12-11-2022-13218627.php
Ouest-France : https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/en-images-a-quoi-ressemblaient-les-bains-de-mer-dans-la-baie-de-morlaix-au-xixe-siecle-9b5d95e0-6c9e-11ed-bb24-fc75ae20c224
En vente en librairie, ou aux éditions Skol Vreizh, 41 quai de Léon, 29600 Morlaix.
Chez Dialogues : https://www.dialoguesmorlaix.com/livre/16820078-bains-de-mer-et-villegiature-en-baie-de-morlaix-collectif-skol-vreizh
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☞ Ci-dessous, une vidéo proposée par l'association Saint-Nicolas, montrant la chapelle du même nom survolée par un drone.
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☞ Nouveaux articles dans la rubrique Histoire de Plougasnou
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☞ Six vidéos éditées par Bobine en bourg sont disponibles directement dans les rubriques Patrimoine bâti, divers (Moulin neuf et Histoires de Primel), Histoire (Réfugiés espagnols et Amoco Cadiz) et Patrimoine maritime.
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Patrimoine de Plougasnou propose des dépliants, disponibles à l'Office du tourisme de Plougasnou, qui permettent de suivre des circuits de découverte du patrimoine de la commune.
Vous pouvez également parcourir ces circuits en suivant ce lien : http://u.osmfr.org/m/192548
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Cliquez sur l'image ci-dessus pour visiter en musique la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes.
Pour lire l'article, cliquez ICI
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Tour virtuel réalisé par Philippe HEURTAULT durant l’été 2016.
La musique de la visite intérieure de la chapelle est la suite en duo pour violon et piano (1927) du compositeur breton Jean CRAS.
Elle est interprétée par Jean-Marie LIONS, violon et Laurence ALLIX, piano.
L’enregistrement a été réalisé lors du concert donné le 13 septembre 2016 en la chapelle Pol de Brignogan
en hommage à Christine THEARD, créatrice du festival Musique en Côte des Légendes .
Nous remercions les artistes interprètes de nous permettre d’utiliser cet enregistrement pour illustrer ce tour virtuel.
La musique de la visite intérieure de la chapelle est la suite en duo pour violon et piano (1927) du compositeur breton Jean CRAS.
Elle est interprétée par Jean-Marie LIONS, violon et Laurence ALLIX, piano.
L’enregistrement a été réalisé lors du concert donné le 13 septembre 2016 en la chapelle Pol de Brignogan
en hommage à Christine THEARD, créatrice du festival Musique en Côte des Légendes .
Nous remercions les artistes interprètes de nous permettre d’utiliser cet enregistrement pour illustrer ce tour virtuel.
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Dernières parutions :
Préface de Ricardo Cavallot, peintre à Saint-Jean-du-Doigt. 12 €
À travers l’œuvre d’Inge Römer, cette artiste si attachée au Diben, Jean-François Joly prolonge sa recherche sur les peintres ayant séjourné durablement à Plougasnou.
Cet ouvrage fait suite à la présentation de la « Colonie de peintres de Térénez », livre édité par le Patrimoine de Plougasnou, à la base d’une exposition organisée à l’automne 2021 par Art en Plougasnou.
De même, le musée des Beaux-Arts de Vannes consacre son exposition estivale de 2022 au peintre provençal René Seyssaud qui, pour son seul voyage en Bretagne, séjourna en 1910 à Primel-Trégastel. Le Patrimoine de Plougasnou y présente une trentaine de planches réalisées par Jean-François Joly, permettant de localiser précisément les œuvres de ce peintre.
L’œuvre d’Inge Römer est attachante, honnête et puissante, comme la définit Ricardo Cavallo dans la préface de ce livre. Il y a de la passion dans cette artiste allemande, native d’Osnabrück, marquée encore par les malheurs de la guerre et qui avait fait du Diben, dès 1966, sa patrie d’adoption. Elle y découvrit ce qu’elle recherchait, des paysages grandioses, une lumière vive et des contrastes marqués.
On retrouvera également dans cet ouvrage, le souci constant de Jean-François Joly de relier l’œuvre picturale à la géographie et à la toponymie.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou.
Cet ouvrage fait suite à la présentation de la « Colonie de peintres de Térénez », livre édité par le Patrimoine de Plougasnou, à la base d’une exposition organisée à l’automne 2021 par Art en Plougasnou.
De même, le musée des Beaux-Arts de Vannes consacre son exposition estivale de 2022 au peintre provençal René Seyssaud qui, pour son seul voyage en Bretagne, séjourna en 1910 à Primel-Trégastel. Le Patrimoine de Plougasnou y présente une trentaine de planches réalisées par Jean-François Joly, permettant de localiser précisément les œuvres de ce peintre.
L’œuvre d’Inge Römer est attachante, honnête et puissante, comme la définit Ricardo Cavallo dans la préface de ce livre. Il y a de la passion dans cette artiste allemande, native d’Osnabrück, marquée encore par les malheurs de la guerre et qui avait fait du Diben, dès 1966, sa patrie d’adoption. Elle y découvrit ce qu’elle recherchait, des paysages grandioses, une lumière vive et des contrastes marqués.
On retrouvera également dans cet ouvrage, le souci constant de Jean-François Joly de relier l’œuvre picturale à la géographie et à la toponymie.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou.
Disponible à l'Office du Tourisme de Plougasnou.
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Comme de nombreuses stations balnéaires, Plougasnou et son littoral découpé attirent au XIXe et XXe siècles les artistes à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Parmi eux, Jean-François Raffaëlli, Maxime Maufra, Alexandre Benois et son ami Serge de Diaghilev, Moïse Kisling, Georges Méliès qui vient chercher dans les rochers de Primel l’inspiration pour le décor de ses films. Cependant ces artistes ne font que passer durant la belle saison.
À Térénez, il en est autrement.
Ici, c’est une bande de copains, dans le sens de Jules Romains, qui investit pendant une cinquantaine d’années Stérec et la presqu’île. Unité de temps, unité de lieu mais pas de style. Ce qui fait le groupe c’est un état d’esprit, inspiré de l’école des Beaux-Arts et de son folklore, complété par la fascination des paysages marins et la recherche de liberté que procure la pratique de la voile.
Au départ Jean WALBIN, architecte et ostréiculteur, s’installe avec d’autres sur l’île Stérec. Pierre BONNEROT est alors la figure la plus marquante du groupe avec André PERROUD et sa compagne Rita MONTAUDON. Puis, après la seconde guerre mondiale, le groupe migre vers Térénez. Y sont présents également René Marcel GRUSLIN, Frédéric LONGUET, arrière-petit-fils de Karl Marx, Louis FOULET et Henri SZCZYPIORSKI attirés par les Longuet, Charles THÉRÉNÉ et Louis LE GROS.
Michel Le Bris, qui a bien connu ce groupe, en parle avec nostalgie dans son livre « un Hiver en Bretagne ». Une étude plus approfondie s’est vite imposée. Jean-François JOLY, secrétaire de notre association, s’est attelé à cette recherche inédite et l’a exécutée avec rigueur.
Cet ouvrage de 180 pages, largement illustré, a pour but de mieux faire connaître ces peintres qui, au même titre que Charles de Kergariou ou Pierre Cavellat, ont su traduire dans leurs œuvres toute la beauté et l’exceptionnelle originalité de la baie de Morlaix.
Christian MILLET, président du Patrimoine de Plougasnou
À Térénez, il en est autrement.
Ici, c’est une bande de copains, dans le sens de Jules Romains, qui investit pendant une cinquantaine d’années Stérec et la presqu’île. Unité de temps, unité de lieu mais pas de style. Ce qui fait le groupe c’est un état d’esprit, inspiré de l’école des Beaux-Arts et de son folklore, complété par la fascination des paysages marins et la recherche de liberté que procure la pratique de la voile.
Au départ Jean WALBIN, architecte et ostréiculteur, s’installe avec d’autres sur l’île Stérec. Pierre BONNEROT est alors la figure la plus marquante du groupe avec André PERROUD et sa compagne Rita MONTAUDON. Puis, après la seconde guerre mondiale, le groupe migre vers Térénez. Y sont présents également René Marcel GRUSLIN, Frédéric LONGUET, arrière-petit-fils de Karl Marx, Louis FOULET et Henri SZCZYPIORSKI attirés par les Longuet, Charles THÉRÉNÉ et Louis LE GROS.
Michel Le Bris, qui a bien connu ce groupe, en parle avec nostalgie dans son livre « un Hiver en Bretagne ». Une étude plus approfondie s’est vite imposée. Jean-François JOLY, secrétaire de notre association, s’est attelé à cette recherche inédite et l’a exécutée avec rigueur.
Cet ouvrage de 180 pages, largement illustré, a pour but de mieux faire connaître ces peintres qui, au même titre que Charles de Kergariou ou Pierre Cavellat, ont su traduire dans leurs œuvres toute la beauté et l’exceptionnelle originalité de la baie de Morlaix.
Christian MILLET, président du Patrimoine de Plougasnou
Disponible à l'Office de Tourisme de Plougasnou.
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Ouvrage broché, en quadrichromie, au format : 21 x 29,7 cm, 176 pages.
Louis LE GUENNEC (1878-1935), érudit autodidacte, fut plusieurs fois sollicité comme historien pour écrire des monographies des communes de la région morlaisienne.
Membre dès 1902, de la Société Archéologique du Finistère, il choisit le bulletin de cette « noble et vieille dame » pour faire paraître entre 1904 et 1918 les monographies de Plourin-Tréguier, de Ploujean, de Plouézoc’h, de Garlan et de Guimaëc. Puis, par l’intermédiaire de l’éditeur Mouez ar Vro de Morlaix, ce sera celle de Plougonven en 1922.
Presque cent ans plus tard, l’association « PATRIMOINE de PLOUGASNOU » publie celle de Plougasnou, texte commandé en 1910 par le recteur Jean-Yves Coatarmanac’h. Le document, manuscrit, est resté dans les archives du presbytère jusqu’à ce que René Théophile Salaün, délégué au recensement des bâtiments de France, le repère en 1953. Il est conservé désormais à la Bibliothèque de Saint-Brieuc, dont les responsables nous ont signalé son existence et permis son édition.
Louis Le Guennec était écrivain, mais aussi excellent dessinateur. Il devait beaucoup aimer la côte et la campagne de Plougasnou pour nous laisser plus d’une centaine de croquis et de dessins de ce territoire, souvent inédits et heureusement conservés par la société des « Amis de Louis Le Guennec » à Quimper. Ils servent d’illustrations à ce livre et sont complétés de quelques photographies réalisées par les prêtres sulpiciens de Paris, en résidence d’été à Kermaria.
Cet ouvrage regroupe donc textes, transcriptions, croquis et dessins, tous issus de la main de Louis Le Guennec. Nous serons heureux de les partager avec vous et de permettre à chacun d’apprécier la sensibilité de cette grande figure littéraire et artistique bretonne.
Christian MILLET, président de l’association Patrimoine de Plougasnou
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Site évolutif.