ÉDITION
Ouvrages édités par l'association ou ses membres :
Bains de mer et villégiature en baie de Morlaix
Au milieu du XIXe siècle, l’émergence du tourisme de bord de mer et de santé touche les sites remarquables de notre littoral. La France va compter jusqu’à 923 stations balnéaires recouvrant des réalités très diverses. La baie de Morlaix concourra à ce dynamisme avec la singularité que lui confèrent la particularité de son paysage et les personnalités qu’elle saura séduire.
Si la fonction curative, dans un premier temps, attire en ces lieux l’aristocratie et la haute bourgeoisie, celles-ci seront vite accompagnées par les artistes, écrivains, peintres, musiciens à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Plusieurs d’entre eux y puiseront leur inspiration pour composer leurs œuvres.
Plus tard, grâce à l’instauration des congés payés en 1936, toutes les couches de la population vont désormais participer à ce mouvement.
Toutes ces fonctions et leurs équipements spécifiques vont perdurer avec plus ou moins de succès ; la perspective culturelle vient plus récemment s’y ajouter par la reconnaissance d’une dimension patrimoniale des lieux.
Ce livre raconte cette histoire et révèle combien la baie de Morlaix a accueilli d’écrivains, de peintres, de musiciens parmi les nombreux villégiateurs qui l’ont fréquenté. De Roscoff à Locquirec, chaque commune a été le siège d’une vie intellectuelle souvent insoupçonnée. En 1869, Alexandre Dumas fréquente Emile Littré à Roscoff ; Igor Stravinsky compose en 1920 son concerto pour quatuor à cordes à Carantec ; Nina Ricci trouve un havre de paix au bord de la rivière de Morlaix ; Maxime Maufra peint les falaises de Saint-Jean-du-Doigt et de Guimaëc ; Serge de Diaghilev conçoit l’aventure des ballets russes à Primel-Trégastel. Ces quelques exemples suffisent à montrer la richesse culturelle que la villégiature a fait naître dans les différents pôles d’attraction de la baie.
Le tourisme d’après-guerre et son évolution sont également décrits, ainsi que les questions que pose l’avenir de ces stations, alors que celles-ci doivent faire face aux difficultés induites par le nécessaire regard écologique, les variations du trait de côte et la pression foncière.
En regard de cette histoire, ce livre propose une sélection d’exemples permettant d’apprécier la richesse de l’architecture balnéaire. Car ces demeures, bien qu’elles se soumettent à un programme commun, savent lier l’efficacité de leur distribution à l’expression de la fantaisie et de l’ambition de leurs habitants, pouvant aller du décor néogothique à l’expérimentation de la modernité la plus affirmée.
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet et Patrick Virion illustré de nombreuses photographies en couleurs.
Edité chez Skol Vreizh, 2022.
Si la fonction curative, dans un premier temps, attire en ces lieux l’aristocratie et la haute bourgeoisie, celles-ci seront vite accompagnées par les artistes, écrivains, peintres, musiciens à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Plusieurs d’entre eux y puiseront leur inspiration pour composer leurs œuvres.
Plus tard, grâce à l’instauration des congés payés en 1936, toutes les couches de la population vont désormais participer à ce mouvement.
Toutes ces fonctions et leurs équipements spécifiques vont perdurer avec plus ou moins de succès ; la perspective culturelle vient plus récemment s’y ajouter par la reconnaissance d’une dimension patrimoniale des lieux.
Ce livre raconte cette histoire et révèle combien la baie de Morlaix a accueilli d’écrivains, de peintres, de musiciens parmi les nombreux villégiateurs qui l’ont fréquenté. De Roscoff à Locquirec, chaque commune a été le siège d’une vie intellectuelle souvent insoupçonnée. En 1869, Alexandre Dumas fréquente Emile Littré à Roscoff ; Igor Stravinsky compose en 1920 son concerto pour quatuor à cordes à Carantec ; Nina Ricci trouve un havre de paix au bord de la rivière de Morlaix ; Maxime Maufra peint les falaises de Saint-Jean-du-Doigt et de Guimaëc ; Serge de Diaghilev conçoit l’aventure des ballets russes à Primel-Trégastel. Ces quelques exemples suffisent à montrer la richesse culturelle que la villégiature a fait naître dans les différents pôles d’attraction de la baie.
Le tourisme d’après-guerre et son évolution sont également décrits, ainsi que les questions que pose l’avenir de ces stations, alors que celles-ci doivent faire face aux difficultés induites par le nécessaire regard écologique, les variations du trait de côte et la pression foncière.
En regard de cette histoire, ce livre propose une sélection d’exemples permettant d’apprécier la richesse de l’architecture balnéaire. Car ces demeures, bien qu’elles se soumettent à un programme commun, savent lier l’efficacité de leur distribution à l’expression de la fantaisie et de l’ambition de leurs habitants, pouvant aller du décor néogothique à l’expérimentation de la modernité la plus affirmée.
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet et Patrick Virion illustré de nombreuses photographies en couleurs.
Edité chez Skol Vreizh, 2022.
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À travers l’œuvre d’Inge Römer, cette artiste si attachée au Diben, Jean-François Joly prolonge sa recherche sur les peintres ayant séjourné durablement à Plougasnou.
Cet ouvrage fait suite à la présentation de la « Colonie de peintres de Térénez », livre édité par le Patrimoine de Plougasnou, à la base d’une exposition organisée à l’automne 2021 par Art en Plougasnou.
De même, le musée des Beaux-Arts de Vannes consacre son exposition estivale de 2022 au peintre provençal René Seyssaud qui, pour son seul voyage en Bretagne, séjourna en 1910 à Primel-Trégastel. Le Patrimoine de Plougasnou y présente une trentaine de planches réalisées par Jean-François Joly, permettant de localiser précisément les œuvres de ce peintre.
L’œuvre d’Inge Römer est attachante, honnête et puissante, comme la définit Ricardo Cavallo dans la préface de ce livre. Il y a de la passion dans cette artiste allemande, native d’Osnabrück, marquée encore par les malheurs de la guerre et qui avait fait du Diben, dès 1966, sa patrie d’adoption. Elle y découvrit ce qu’elle recherchait, des paysages grandioses, une lumière vive et des contrastes marqués.
On retrouvera également dans cet ouvrage, le souci constant de Jean-François Joly de relier l’œuvre picturale à la géographie et à la toponymie.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou.
Cet ouvrage fait suite à la présentation de la « Colonie de peintres de Térénez », livre édité par le Patrimoine de Plougasnou, à la base d’une exposition organisée à l’automne 2021 par Art en Plougasnou.
De même, le musée des Beaux-Arts de Vannes consacre son exposition estivale de 2022 au peintre provençal René Seyssaud qui, pour son seul voyage en Bretagne, séjourna en 1910 à Primel-Trégastel. Le Patrimoine de Plougasnou y présente une trentaine de planches réalisées par Jean-François Joly, permettant de localiser précisément les œuvres de ce peintre.
L’œuvre d’Inge Römer est attachante, honnête et puissante, comme la définit Ricardo Cavallo dans la préface de ce livre. Il y a de la passion dans cette artiste allemande, native d’Osnabrück, marquée encore par les malheurs de la guerre et qui avait fait du Diben, dès 1966, sa patrie d’adoption. Elle y découvrit ce qu’elle recherchait, des paysages grandioses, une lumière vive et des contrastes marqués.
On retrouvera également dans cet ouvrage, le souci constant de Jean-François Joly de relier l’œuvre picturale à la géographie et à la toponymie.
Christian MILLET
Président du Patrimoine de Plougasnou.
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Format A4 - 180 pages - Papier couché satiné 135 gr. - Impression en quadrichromie.
Comme de nombreuses stations balnéaires, Plougasnou et son littoral découpé, attire au XIXe et XXe siècles les peintres à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Parmi eux, Maxime Maufra quitte pour un temps Pont-Aven; Alexandre Benois, en villégiature, y accueille son ami Serge de Diaghilev ; René Seyssaud laisse pendant un mois sa chère Provence ; et même Georges Melyès vient chercher dans les rochers de Primel l’inspiration pour le décor de ses films. D’autres encore, Moïse Kisling peintre de Montparnasse, Rudolph Ilhee l’anglais, Inge Rohmer, l’allemande. Cependant ces artistes ne font que passer durant la belle saison.
À Terenez, il en est autrement.
Ici c’est une bande de copains, dans le sens de Jules Romains et Georges Brassens, qui investit pendant une cinquantaine d’années Stérec et la presqu’île. Unité de temps, unité de lieu mais pas de style. Ce qui fait le groupe c’est un état d’esprit, issu au début des Beaux-Arts et de son folklore, Rougevin et bal des 4 Z’arts en tête, complété par la fascination des paysages marins et la recherche de liberté que procure la pratique de la voile.
Au départ Jean WALBIN, architecte et ostréiculteur, s’installe avec d’autres sur l’île Stérec. Pierre BONNEROT est alors la figure la plus marquante du groupe avec André PERROUD et sa compagne Rita MONTAUDON. Puis après la seconde guerre mondiale, le groupe migre vers Terenez. Y sont présents également René Marcel GRUSLIN, Frédéric LONGUET, arrière-petit-fils de Karl Marx, Louis FOULET et Henri SZCZYPIORSKI attirés par les Longuet, Charles THÉRÉNÉ et Louis LE GROS.
Michel Le Bris, qui a bien connu ce groupe, en parle avec nostalgie dans son livre « un Hiver en Bretagne ». Une étude plus approfondie s’est vite imposée. Jean-François JOLY, secrétaire de notre association, s’est attelé à cette recherche inédite et l’a exécutée avec rigueur ; on y trouve une biographie et un recensement des œuvres de chaque artiste, complété par une approche topographique dont il est spécialiste.
Cet ouvrage de 177 pages largement illustré a pour but de mieux faire connaître ces peintres qui, au même titre que Charles de Kergariou ou Pierre Cavellat, ont su traduire dans leurs œuvres toute la beauté et l’exceptionnelle originalité de la baie de Morlaix.
Christian MILLET, président du Patrimoine de Plougasnou
À Terenez, il en est autrement.
Ici c’est une bande de copains, dans le sens de Jules Romains et Georges Brassens, qui investit pendant une cinquantaine d’années Stérec et la presqu’île. Unité de temps, unité de lieu mais pas de style. Ce qui fait le groupe c’est un état d’esprit, issu au début des Beaux-Arts et de son folklore, Rougevin et bal des 4 Z’arts en tête, complété par la fascination des paysages marins et la recherche de liberté que procure la pratique de la voile.
Au départ Jean WALBIN, architecte et ostréiculteur, s’installe avec d’autres sur l’île Stérec. Pierre BONNEROT est alors la figure la plus marquante du groupe avec André PERROUD et sa compagne Rita MONTAUDON. Puis après la seconde guerre mondiale, le groupe migre vers Terenez. Y sont présents également René Marcel GRUSLIN, Frédéric LONGUET, arrière-petit-fils de Karl Marx, Louis FOULET et Henri SZCZYPIORSKI attirés par les Longuet, Charles THÉRÉNÉ et Louis LE GROS.
Michel Le Bris, qui a bien connu ce groupe, en parle avec nostalgie dans son livre « un Hiver en Bretagne ». Une étude plus approfondie s’est vite imposée. Jean-François JOLY, secrétaire de notre association, s’est attelé à cette recherche inédite et l’a exécutée avec rigueur ; on y trouve une biographie et un recensement des œuvres de chaque artiste, complété par une approche topographique dont il est spécialiste.
Cet ouvrage de 177 pages largement illustré a pour but de mieux faire connaître ces peintres qui, au même titre que Charles de Kergariou ou Pierre Cavellat, ont su traduire dans leurs œuvres toute la beauté et l’exceptionnelle originalité de la baie de Morlaix.
Christian MILLET, président du Patrimoine de Plougasnou
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Format A5, 250 pages. Papier couché satiné, 135 g/m2. Impression en quadrichromie. Reliure métallique.
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Louis LE GUENNEC (1878-1935), érudit autodidacte, fut plusieurs fois sollicité comme historien pour écrire des monographies des communes de la région morlaisienne.
Membre dès 1902, de la Société Archéologique du Finistère, il choisit le bulletin de cette « noble et vieille dame » pour faire paraître entre 1904 et 1918 les monographies de Plourin-Tréguier, de Ploujean, de Plouézoc’h, de Garlan et de Guimaëc. Puis, par l’intermédiaire de l’éditeur Mouez ar Vro de Morlaix, ce sera celle de Plougonven en 1922.
Presque cent ans plus tard, l’association « PATRIMOINE de PLOUGASNOU » publie celle de Plougasnou, texte commandé en 1910 par le recteur Jean-Yves Coatarmanac’h. Le document, manuscrit, est resté dans les archives du presbytère jusqu’à ce que René Théophile Salaün, délégué au recensement des bâtiments de France, le repère en 1953. Il est conservé désormais à la Bibliothèque de Saint-Brieuc, dont les responsables nous ont signalé son existence et permis son édition.
Louis Le Guennec était écrivain, mais aussi excellent dessinateur. Il devait beaucoup aimer la côte et la campagne de Plougasnou pour nous laisser plus d’une centaine de croquis et de dessins de ce territoire, souvent inédits et heureusement conservés par la société des « Amis de Louis Le Guennec » à Quimper. Ils servent d’illustrations à ce livre et sont complétés de quelques photographies réalisées par les prêtres sulpiciens de Paris, en résidence d’été à Kermaria.
Cet ouvrage regroupe donc textes, transcriptions, croquis et dessins, tous issus de la main de Louis Le Guennec. Nous serons heureux de les partager avec vous et de permettre à chacun d’apprécier la sensibilité de cette grande figure littéraire et artistique bretonne.
Christian MILLET, président de l’association Patrimoine de Plougasnou
Membre dès 1902, de la Société Archéologique du Finistère, il choisit le bulletin de cette « noble et vieille dame » pour faire paraître entre 1904 et 1918 les monographies de Plourin-Tréguier, de Ploujean, de Plouézoc’h, de Garlan et de Guimaëc. Puis, par l’intermédiaire de l’éditeur Mouez ar Vro de Morlaix, ce sera celle de Plougonven en 1922.
Presque cent ans plus tard, l’association « PATRIMOINE de PLOUGASNOU » publie celle de Plougasnou, texte commandé en 1910 par le recteur Jean-Yves Coatarmanac’h. Le document, manuscrit, est resté dans les archives du presbytère jusqu’à ce que René Théophile Salaün, délégué au recensement des bâtiments de France, le repère en 1953. Il est conservé désormais à la Bibliothèque de Saint-Brieuc, dont les responsables nous ont signalé son existence et permis son édition.
Louis Le Guennec était écrivain, mais aussi excellent dessinateur. Il devait beaucoup aimer la côte et la campagne de Plougasnou pour nous laisser plus d’une centaine de croquis et de dessins de ce territoire, souvent inédits et heureusement conservés par la société des « Amis de Louis Le Guennec » à Quimper. Ils servent d’illustrations à ce livre et sont complétés de quelques photographies réalisées par les prêtres sulpiciens de Paris, en résidence d’été à Kermaria.
Cet ouvrage regroupe donc textes, transcriptions, croquis et dessins, tous issus de la main de Louis Le Guennec. Nous serons heureux de les partager avec vous et de permettre à chacun d’apprécier la sensibilité de cette grande figure littéraire et artistique bretonne.
Christian MILLET, président de l’association Patrimoine de Plougasnou
Ouvrage broché, en quadrichromie, au format : 21 x 29,7 cm, 176 pages.
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Dans cette partie de Bretagne, de part et d’autre de la ville portuaire de Morlaix, des édifices religieux d’une grande qualité architecturale ont vu le jour à l’époque de la duchesse Anne.
Le modèle « Beaumaner », répété à l’envi, fut très vite signalé et analysé par les historiens de l’art. Mais on sait peu de choses sur la vie des maîtres d’oeuvre de cette époque et le milieu professionnel dans lequel ils évoluaient.
Les rares archives et les épigraphes nous ont permis de découvrir les façons de concevoir et de bâtir de cette époque.
C’est un monde complexe où évoluent les artisans et plus particulièrement les tailleurs de pierre, sculpteurs, entrepreneurs, experts, charpentiers, travaillant individuellement ou collégialement à l’aide de devis et de dessins.
La connaissance de ce milieu professionnel reste exceptionnelle au milieu de l’anonymat presque général constaté à cette époque.
84 p. ; 21 X 22 cm, livre broché, couv. souple, rabats, intérieur : imp. quadri. Très nombreuses illustrations.
Le modèle « Beaumaner », répété à l’envi, fut très vite signalé et analysé par les historiens de l’art. Mais on sait peu de choses sur la vie des maîtres d’oeuvre de cette époque et le milieu professionnel dans lequel ils évoluaient.
Les rares archives et les épigraphes nous ont permis de découvrir les façons de concevoir et de bâtir de cette époque.
C’est un monde complexe où évoluent les artisans et plus particulièrement les tailleurs de pierre, sculpteurs, entrepreneurs, experts, charpentiers, travaillant individuellement ou collégialement à l’aide de devis et de dessins.
La connaissance de ce milieu professionnel reste exceptionnelle au milieu de l’anonymat presque général constaté à cette époque.
84 p. ; 21 X 22 cm, livre broché, couv. souple, rabats, intérieur : imp. quadri. Très nombreuses illustrations.
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Le trésor d'orfèvrerie
de Saint-Jean-du-Doigt
Jean-François Joly
de Saint-Jean-du-Doigt
Jean-François Joly
Format : 21x 29,7 cm 92 pages Prix :12 €
Le trésor d’orfèvrerie de Saint-Jean-du- Doigt, riche d’une vingtaine de pièces, a fort heureusement traversé les heures mouvementées de notre histoire pour être aujourd’hui présenté à l’admiration du public.
S’il est aisé de dresser un inventaire du trésor, en revanche, il n’est guère facile de saisir comment s’est constitué l’ensemble des pièces dont les plus anciennes remontent au début du XVIè siècle.
La présentation du trésor s’appuie sur les travaux de trois éminents spécialistes de l’orfèvrerie bretonne, illustrés par 30 planches photographiques en couleur.
Préface de Y-P Castel, docteur en histoire de l’art
Le trésor d’orfèvrerie de Saint-Jean-du- Doigt, riche d’une vingtaine de pièces, a fort heureusement traversé les heures mouvementées de notre histoire pour être aujourd’hui présenté à l’admiration du public.
S’il est aisé de dresser un inventaire du trésor, en revanche, il n’est guère facile de saisir comment s’est constitué l’ensemble des pièces dont les plus anciennes remontent au début du XVIè siècle.
La présentation du trésor s’appuie sur les travaux de trois éminents spécialistes de l’orfèvrerie bretonne, illustrés par 30 planches photographiques en couleur.
Préface de Y-P Castel, docteur en histoire de l’art
TABLE DES MATIÈRES :
Préface
Introduction
Le Trésor d'orfèvrerie, par Yves-Pascal CASTEL 7
Le catalogue des pièces 17
Annexe 1 : des pièces d’orfèvrerie au service du culte : Pardon en 1910 61
Annexe 2 : l’inventaire du 7 avril 1607 69
Annexe 3 : les poinçons : une carte d'identité 71
Annexe 4 : la biographie des orfèvres de la paroisse 73
Annexe 5 : glossaire religieux 81
Annexe 6 : biographie 85
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Le Paysan breton en sa demeure, par Christian Millet et Daniel Sannier
Skol Vreizh éd. - 2013 - 33 €
Skol Vreizh éd. - 2013 - 33 €
Dans Le Paysan breton en sa demeure, Christian Millet et Daniel Sannier dressent le tableau d'une société rurale qui semblait quasi immuable à la veille des profonds bouleversements que nous connaissons.
Battant la campagne à la manière d'un Louis Le Guennec, interrogeant les paysans, explorant les archives privées et publiques, mus par une véritable passion, ils ont découvert des trésors insoupçonnés qu'ils nous font partager par la photographie, le document et le texte. (note de l'éditeur).
Battant la campagne à la manière d'un Louis Le Guennec, interrogeant les paysans, explorant les archives privées et publiques, mus par une véritable passion, ils ont découvert des trésors insoupçonnés qu'ils nous font partager par la photographie, le document et le texte. (note de l'éditeur).
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Mémoire des hommes - Inscriptions sur la pierre et le métal
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet
Section Patrimoine du Trégor finistérien / ULAMIR éd. - 2010 - 20 €
épuisé
Ouvrage collectif sous la direction de Christian Millet
Section Patrimoine du Trégor finistérien / ULAMIR éd. - 2010 - 20 €
épuisé
[...] Sources uniques de connaissance ou compléments d'autres informations, ces messages localisés, photographiés, documentés forment la « mémoire des hommes » du territoire étudié et permettent un accès direct, très souvent inédit, à nos racines et à l'histoire.
Cette originale démarche collective a donné naissance à cet ouvrage de 208 pages illustrées de 600 photographies couleurs, dans lesquelles beaucoup d'entre nous se reconnaîtront. (note de l'éditeur)
Cette originale démarche collective a donné naissance à cet ouvrage de 208 pages illustrées de 600 photographies couleurs, dans lesquelles beaucoup d'entre nous se reconnaîtront. (note de l'éditeur)
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Saint-Pierre de Plougasnou - Le trésor d'orfèvrerie du Gothique à l'Art Déco
par Jean-François Joly
Paroisse de Plougasnou éd. - 2009
(en vente au presbytère de Plougasnou, 11 route de la Plage)
par Jean-François Joly
Paroisse de Plougasnou éd. - 2009
(en vente au presbytère de Plougasnou, 11 route de la Plage)
Constitué au fil des siècles par les soins de la Fabrique, le trésor d'orfèvrerie de la paroisse de Plougasnou est enfin sorti de l'oubli où le retenait le coffre de la sacristie pour s'offrir à l'admiration de tous. (extrait de la présentation)
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14 - 18 Des Plouganistes sur tous les fronts
ouvrage collectif sous la direction de Marcel Floc'h et Pierre Merret
Section Patrimoine du Foyer rural de Plougasnou éd. - 2008 - 10 €
ouvrage collectif sous la direction de Marcel Floc'h et Pierre Merret
Section Patrimoine du Foyer rural de Plougasnou éd. - 2008 - 10 €
[...] Il s'agit avant tout d'exposer l'état d'esprit des Plouganistes au front pendant les hostilités, leurs sujets de préoccupation, la vie de tous les jours, leurs angoisses, leurs amours. Tout cela à travers une correspondance fournie de jeunes militaires - et de moins jeunes - avec des membres de leurs familles respectives. [...] (extrait de l'avant-propos)
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Le Diben mon trésor, par Jeannie Quiguer.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 2002 - 13 €
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 2002 - 13 €
Jeannie Quiguer, née Le Noan (1907 - 1998), a vu le jour à Traon Bian, en Plougasnou, un 12 décembre d'un père pêcheur d'Islande et d'une mère paysanne. [...]
Son œuvre réside en quelques délicieux cahiers manuscrits. L'ouvrage que vous avez entre les mains vous en livre de larges extraits. (note de l'éditeur)
Son œuvre réside en quelques délicieux cahiers manuscrits. L'ouvrage que vous avez entre les mains vous en livre de larges extraits. (note de l'éditeur)
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Plougasnou de l'occupation à la libération, par Jean Le Gros.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 2001 - 15,24 €
épuisé
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 2001 - 15,24 €
épuisé
L'auteur, Jean Le Gros, est né en 1926 à Plougasnou [...]
À la retraite, il revient à Plougasnou où, en 1994, il est sollicité par la municipalité dans le cadre de l'organisation des cérémonies commémorant le cinquantième anniversaire de la Libération.
Curieusement, il constate que pas une seule archive n'existe, pas une seule ligne n'a été écrite sur cette période pourtant fertile en événements, souvent tragiques.
[...avec le respect de l'authentique il livre donc un témoignage de faits tels qu'il les a vécus durant la période qui s'étend de 1940 à 1944. (note de l'éditeur)
À la retraite, il revient à Plougasnou où, en 1994, il est sollicité par la municipalité dans le cadre de l'organisation des cérémonies commémorant le cinquantième anniversaire de la Libération.
Curieusement, il constate que pas une seule archive n'existe, pas une seule ligne n'a été écrite sur cette période pourtant fertile en événements, souvent tragiques.
[...avec le respect de l'authentique il livre donc un témoignage de faits tels qu'il les a vécus durant la période qui s'étend de 1940 à 1944. (note de l'éditeur)
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Sao Breiz, ouvrage collectif.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd.- 2000
épuisé
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd.- 2000
épuisé
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Plougasnou et sa trève de Saint-Jean-du-Doigt, par Jean de Trigon.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou / Le Bouquiniste de Morlaix éd. - 1998 - 18 €
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou / Le Bouquiniste de Morlaix éd. - 1998 - 18 €
Né à Morlaix (1902 - ✝1968), Jean Le Merchant de Trigon [...] étaitvice-président de "la Société d'études artistique, littéraire et scientifique du Finistère".
L'œuvre que le Bouquiniste de Morlaix et la Section patrimoine du Foyer rural de Plougasnou publient aujourd'hui avec l'aimable autorisation de Madame Le Merchant de Trigon et de ses enfants dormait depuis 50 ans. Il s'agit du fruit d'une patiente et minutieuse recherche et d'un travail considérable. (note de l'éditeur)
L'œuvre que le Bouquiniste de Morlaix et la Section patrimoine du Foyer rural de Plougasnou publient aujourd'hui avec l'aimable autorisation de Madame Le Merchant de Trigon et de ses enfants dormait depuis 50 ans. Il s'agit du fruit d'une patiente et minutieuse recherche et d'un travail considérable. (note de l'éditeur)
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Découvrir Plougasnou, ouvrage collectif dirigé par Pierre Merret.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 1996. - 9 €
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 1996. - 9 €
Trois sections du Foyer rural se sont unies pour présenter une œuvre bâtie sur le bénévolat et l'amour de leur coin de Bretagne dont elles aspirent à faire la promotion. (extrait de la préface)
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Plougasnou, son histoire, son patrimoine, par Louis Le Guennec.
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 1994 - 15 €
épuisé
Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou éd. - 1994 - 15 €
épuisé
Par cette publication, la Section patrimoine du Foyer rural de Plougasnou a voulu transmettre au lecteur une première synthèse de tout ce que l'inlassable chercheur qu'était Louis Le Guennec a publié sur notre petit coin de Trégor. Il s'agit d'un document de base qui apporte une multitude de renseignements et incite à aller plus avant dans la découverte du patrimoine. (extrait de la préface)